La liste pourrait encore s’allonger, derrière ce constat simple : deux ans après le début de l’offensive de Tsahal dans la bande de Gaza en réaction à l’attaque terroriste du 7 octobre, Israël n’a quasiment pas été mis au ban du monde du sport. Seules petites exceptions : la fédération internationale de muay-thaï, un sport de combat pas olympique, a interdit les athlètes israéliens de s’aligner sous leurs couleurs. Et l’équipe cycliste Israël Premier Tech, ciblée par des manifestants tout au long du Tour d’Espagne, ne prendra pas le départ du Tour de Lombardie d’un « commun accord » avec l’organisateur, avant d’enlever la mention du pays dans son nom la saison prochaine.