Il a longtemps été attaché à l’hôpital public où il y a exercé avec conviction. Un monde où il a vécu mille vies. Pendant onze ans, Thomas Alix, chirurgien maxillo-facial a redonné, au CHU de Saint-Étienne, figure humaine aux patients qui l’avaient perdue à la suite de cancers, de tentatives de suicide ou d’accidents de la voie publique.
Il a aussi passé un an aux Hospices civils de Lyon pour, là encore, réparer les drames de la vie avant de partir exercer dans le privé au sein du centre médico-chirurgical Facialis, à Saint-Priest-en-Jarez.
« Le plus bel exercice du monde »
Dans cette clinique où, de…