1. Améliorer la connaissance sur les particules et informer les voyageurs

Pour améliorer efficacement la qualité de l’air dans les enceintes ferroviaires souterraines, il est essentiel de développer les connaissances sur les particules, dont les fines et ultrafines, et ce, en toute transparence.

Améliorer la connaissance sur les particules

Cela passe notamment, par une identification plus efficace des sources d’émissions, la compréhension des facteurs d’influence, mais aussi par l’étude des caractéristiques physico-chimiques des particules.

Des mesures permanentes

Aujourd’hui, huit sites sont équipés de stations de mesures permanentes en Île-de-France :

  • Sevran-Beaudottes (RER B)
  • Avenue Foch (RER C)
  • La Défense (RER E)
  • Auber (RER A)
  • Châtelet (Métro 4) – Déplacé temporairement à Saint-Germain-des-Près
  • Franklin Roosevelt (Métro 1)
  • Nation (RER A)
  • et Châtelet-Les-Halles (RER A)

Des mesures ponctuelles en station et dans les rames

Les résultats des mesures permanentes en station sont complétés par des mesures ponctuelles dans les stations et dans les rames avec des critères harmonisés (conformément au guide INERIS), afin d’obtenir une connaissance plus complète, et mise à jour régulièrement.

Installation de capteurs de surveillance

En parallèle, Île-de-France Mobilités a demandé à RATP de développer des capteurs de surveillance des particules ultrafines, ce qui permettra une meilleure connaissance les concernant.

Informer les voyageurs en toute transparence

Dans cette quête d’une amélioration de la qualité de l’air intérieur, l’information voyageur est clé. Et cela passe par une plus grande transparence des données collectées, avec davantage de données disponibles en Open Data.