Des fans comblés se rejouissent d’entendre à nouveau
Vanessa Paradis donner la voix. La chanteuse sort cette semaine
son huitième album, Le retour des beaux
jours. Le projet doit beaucoup à sa collaboration avec
un camarade de longue date,
Etienne Daho.
L’interprète de Joe le taxi s’est
entourée de ses enfants,
Lily-Rose et
Jack Depp, pour donner vie aux 12 titres de la
tracklist. Le disque regorge de confessions intimes,
notamment sur sa vie à Los Angeles dont il est
question dans la chanson Les initiales des anges. Une
histoire d’amour avec la Cité des Anges qui ne date pas d’hier.
Vanessa Paradis : ce papier indispensable dont elle
se passe
En visite dans l’émission Quotidien,
Vanessa Paradis a eu la surprise de découvrir des images d’archives
de sa première virée à
Los Angeles, sa ville d’adoption, au début des années
90. On la voit conduire une décapotable
lancée à travers la ville. La vidéo a fait sourire l’ex-compagne de
Johnny Depp, révélant ne pas posséder un précieux
sésame détenu par plusieurs millions de Français.
« J’ai pas mon permis »,
s’est-elle exclamée, le sourire aux lèvres. Yann Barthès s’est
d’autant plus étonné de cette confidence que la chanteuse semble
afficher de l’assurance au volant. « J’étais très proche
de l’avoir, mais franchement je ne l’avais pas. »
Selon les chiffres communiqués par le Ministère de l’Intérieur, 48
millions de Français étaient en possession d’un permis de conduire
en 2019.
Vanessa Paradis : « J’étais une maman
anonyme »
Los Angeles compte beaucoup dans la vie de
l’ex-compagne de Johnny Depp. « J’y ai passé
tellement de décennies. Il y a eu de tout. Tellement de
vie, du bonheur, des larmes… », a égrené la chanteuse sur le
plateau de Quotidien hier soir. Une ville qui lui a permis
également de se consacrer à sa vie de famille loin
des caméras.
« J’étais une maman anonyme, donc
j’étais une maman à 100%. » Une discrétion précieuse « pour
être complètement disponible » avec ses enfants. Mais pas que.
« J’avais aussi du temps pour écrire des
chansons, pour lire des livres, pour faire du sportn pour
m’occuper de moi. » Et d’ajouter en guise de conclusion :
« Quand c’est difficile d’être loin de chez soi, il faut essayer
de trouver le meilleur de là où on est. »