Pour beaucoup, tout part d’un simple amusement pour pimenter ses rencontres ou pouvoir frimer devant ses potes, histoire de dire « je le savais, j’avais tout vu ». D’autres, en revanche, perdent le contrôle et dérapent. Et passent leurs nerfs sur les sportifs, pour la plupart méconnus du grand public, pour évacuer leur frustration.
« On se fait insulter tous les jours, qu’on gagne ou qu’on perde, se désole un joueur français présent cette semaine à Roanne. Nos copines, nos familles… Tout le monde en prend pour son grade. »
À l’Open de Roanne, comme pour tous les Challengers sur le sol national, l’Arjel,…