15:15
Jean-Noël Barrot dans le prochain gouvernement ?
Interrogé sur sa participation ou celle d’autres ministres MoDem au nouveau gouvernement Lecornu, alors que le chef des députés MoDem Marc Fesneau a semblé la conditionner à « des clarifications » sur les intentions du gouvernement, Jean-Noël Barrot a répondu que les questions de personnes étaient « secondaires ».
Le ministre démissionnaire a par ailleurs estimé qu’il fallait soutenir l’institution présidentielle. « Je suis (…) de ceux qui ne s’en prendront jamais à l’institution présidentielle parce que c’est un fait dans notre constitution, la présidence de la République n’est jamais et ne doit jamais être un fusible », a-t-il commenté. « C’est la clé de voûte de nos institutions. Il faut la préserver », a-t-il ajouté.
15:10
Le MoDem assumera ses responsabilités, selon Jean-Noël Barrot
Le MoDem ne se dérobera pas face à ses responsabilités comme il l’a toujours fait, a martelé ce dimanche le ministre des Affaires étrangères démissionnaire.
« Je ne vois pas de raisons pour lesquelles le. MoDem se déroberait devant ses responsabilités. Aujourd’hui, la situation est suffisamment grave », a déclaré Jean-Noël Barrot, invité de l’émission un Dimanche en politique sur France 3.
Il a rappelé que le MoDem avait été « de tous les combats les plus difficiles jusqu’à celui sur la réforme des retraites depuis 2017 ». « Nous n’allons pas changer de cap », a-t-il poursuivi.
14:57
Pour Marine Tondelier, une dissolution « ne résoudra rien »
La secrétaire nationale des Ecologistes a affirmé sur France Inter et au Monde qu’une nouvelle dissolution de l’Assemblée nationale « ne résoudra rien » mais « ne la craint pas ».
« Nous ne sommes pas inquiets et pas tétanisés. Nous n’avons peur de pas grand chose et surtout pas du vote des Français », a-t-elle affirmé.
Sur la question de la censure, Marine Tondelier demande un vote de confiance après le discours de politique générale. Si ce vote n’a pas lieu, elle pense à déposer une motion de censure unitaire. « Nous estimons qu’il faut d’abord écouter le discours de politique générale », ajoute-t-elle.
13:40
Jean-François Copé demande à Emmanuel Macron de démissionner après les municipales
Le maire LR de Meaux et ancien ministre, était l’invité du Grand Jury RTL-Public Sénat-Le Figaro-M6 sur RTL ce dimanche. Il a qualifié la situation politique d’« extrêmement grave » et a estimé qu’il « n’y a pas de solution dans un nouveau gouvernement ». Pour lui, il faut qu’Emmanuel Macron démissionne. « Je ne préconise pas un départ immédiat, a-t-il précisé. Il faut qu’il programme un départ au lendemain des élections municipales », selon l’ancien président de l’UMP.
12:10
« On ne change pas un budget en un week-end »
Sur le plateau de BFMTV, le député RN Jean-Philippe Tanguy accuse Emmanuel Macron de gagner du temps. « Le budget, c’est un texte énorme. On ne peut pas le changer en un claquement de doigt », lance-t-il, dénonçant la « succession de mensonges » du président.
12:01
Agnès Pannier-Runacher ne sera pas dans le prochain gouvernement
La ministre démissionnaire de la Transition écologique a confirmé sur le plateau de Dimanche en politique, sur France 3, qu’elle ne participera pas à la nouvelle équipe gouvernementale, elle qui a participé à tous les gouvernements depuis 2017.
« Je pense qu’il faut une rupture et je m’applique à moi-même ce que j’entends des Français. (…) Le macronisme a un bon bilan sur plein de choses. Mais aujourd’hui, il faut entendre ce que disent les Français. Donc il faut renouveler les visages », a-t-elle expliqué, ajoutant qu’elle a « des idées de ministres » qui peuvent lui succéder.
11:56
Pour Hervé Marseille, un censure est possible dès « cette semaine »
Invité de Radio J, le président de l’UDI a estimé que le gouvernement est dores et déjà menacé, avant même qu’il ne soit nommé, « peut-être même cette cette semaine ».
11:03
Les clefs entre les mains du groupe LIOT ?
Pour le président du groupe LIOT à l’Assemblée Laurent Panifous, le « rôle stratégique » de ses troupes, qui compte une vingtaine de députés, « reste accessoire ».
« Personne n’a l’impression d’avoir gagné vis-à-vis des autres », estime Laurent Panifous sur BFMTV.
Censure: « Je suis conscient que mon groupe a un rôle stratégique […] mais cela reste accessoire, ça veut dire que ça veut se jouer à peu de chose », analyse Laurent Panifous, président du LIOT à l’Assemblée nationale pic.twitter.com/PZMZdZNH8l
— BFMTV (@BFMTV) October 12, 2025
10:28
Jérôme Guedj demande toujours une suspension de la réforme des retraites
« La suspension de la réforme des retraites votée en 2023 sera votée dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale ». Voilà ce que Jérôme Guedj veut entendre de la bouche de Sébastien Lecornu pendant son discours de politique générale. Une suspension qui enjamberait l’élection présidentielle de 2027.
« Je souhaite que si la suspension de la réforme des retraites est rendue possible, on puisse avoir ce débat à l’Assemblée nationale et qu’il n’y ait pas censure au moment de la discussion de politique générale », affirme le député PS.
10:22
Un socialiste au gouvernement ? Une mauvaise idée pour Guedj
« Ce serait entretenir de la confusion », répond Jérôme Guedj. « Quand nous étions disponibles pour Matignon, c’était pour un gouvernement de gauche et des écologistes, sans débauchage individuel. Sinon, on ne comprend quel est le point d’équilibre de ce gouvernement », poursuit le député PS.
10:16
Ecouter les Français d’abord
« S’il veut que son gouvernement ne soit pas censuré, il faut qu’il réponde aux aspirations majoritaires des Français », lance Jérôme Guedj au sujet de Sébastien Lecornu, ajoutant que les Français « se foutent » de « la petite tambouille politicienne des LR ».
10:12
« Il y a avait d’autres choix », pour Guedj
« L’erreur est humaine, persévérer est diabolique. Emmanuel Macron pouvait nous dire ‘Prenez votre responsabilité’. Parce que nous étions prêts (…) et en capacité de proposer un gouvernement, une équipe ramassée, compétente, qui aurait pu ne pas être censurée », assure le député de l’Essonne sur le plateau de LCI.
10:08
Le PS va « peser dans la séquence »
Invité de LCI, le député socialiste Jérôme Guedj rappelle que son parti va « peser dans la séquence » politique actuelle, en réponse à Gérard Larcher, qui accusait le PS de faire « du chantage à la censure ».
09:33
Marc Fesneau demande de la clarté
Le président du groupe parlementaire « Les Démocrates » exige dans un post sur X « de connaître plus clairement les intentions du gouvernement ».
« C’est sur cette base que nous déterminerons, en toute loyauté et en toute transparence, la nature de notre soutien », écrit-il. « L’ambiguïté ne sert pas le compromis. Sortir de l’ambiguïté est un impératif pour avancer », peut-on lire.
Je prends acte, avec mon groupe parlementaire, de la renomination de Sébastien Lecornu comme Premier ministre.
Cette décision et les choix qu’elle implique appellent un certain nombre de clarifications.
Au-delà des personnes, et depuis la crise politique née de la dissolution,…
— Marc Fesneau (@MFesneau) October 12, 2025
09:21
Pour Faure, « la dissolution est l’hypothèse la plus vraisemblable »
Dans un entretien accordé à la Tribune Dimanche, Olivier Faure estime que ce scénario est, pour l’heure, le « plus vraisemblable ».
« Depuis un an, nous sommes les seuls à faire l’effort de stabiliser le pays. Ça suffit. La balle est dans le camp du gouvernement. Nous ne sommes pas là pour sauver un pouvoir discrédité », lance-t-il.
08:39
Qui pour composer le gouvernement ?
L’horloge tourne mais encore peu de noms circulent quant à la composition du gouvernement Lecornu II. Pourtant, celui du préfet de police Laurent Nuñez est souvent cité pour remplacer Bruno Retailleau au ministère de l’Intérieur. Nos confrères de la Tribune Dimanche évoquent également celui d’Anne Levade pour la Justice. Moins connue que Laurent Nuñez, cette juriste a notamment organisé les primaires LR de 2016.
08:15
Trois ministres invités
Les prises de paroles de trois ministres démissionnaires seront particulièrement attendues ce dimanche. A 10 heures, la porte-parole du gouvernement Aurore Bergé sera l’invitée d’Europe 1, CNews et Les Echos, avant les interviews d’Agnès Pannier Runacher, ministre de la Transition écologique, et de Jean-Noël Barrot, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, sur France 3 à midi.
07:56
Sébastien Lecornu gagne 11 points de popularité, dans un nouveau sondage
Le premier ministre renommé a vu sa côte de popularité grimper de 11 points, selon le baromètre mensuel Ipsos BVA pour « La Tribune Dimanche ». Il ne recueille toutefois que 27 % d’opinions favorables, contre 55 % de désapprobation.
07:48
Pour Retailleau, la droite « ne peut pas participer » au gouvernement du « macronisme finissant »
Le président des Républicains a justifié son choix de ne pas participer au gouvernement de Sébastien Lecornu dans un courrier aux adhérents LR. « Chacun a bien compris que ce gouvernement ne peut tenir qu’en trouvant un accord de non censure avec le parti socialiste. », a écrit le ministre de l’Intérieur démissionnaire ajoutant que « le rôle de la droite n’est pas de faire une politique de gauche. »
Bruno Retailleau s’est cependant opposé à une censure du futur gouvernement. « Nous ne serons pas des artisans du chaos et si ce gouvernement propose des mesures utiles au pays, nous devrons les soutenir », a-t-il ajouté souhaitant que LR incarne « la rupture dont le pays a besoin ».
07:39
Les Républicains se déchirent
Lors d’une réunion des parlementaires et d’un bureau politique particulièrement tendu hier, sénateurs et députés se sont déchirés sur la position à adopter après la reconduction de Sébastien Lecornu à Matignon. Des débauchages pourraient avoir lieu pour constituer la nouvelle équipe gouvernementale. Explications.
07:33
« Je suis libre » : Lecornu abat ses cartes
Fraîchement renommé, il entame une semaine à hauts risques, entre budget, formation du gouvernement et déclaration de politique générale. Il s’est livré à quelques journaux, dont le Parisien – Aujourd’hui en France.
07:26
Bonjour à tous
Bienvenue dans ce direct consacré à ce deuxième jour de tractations de Sébastien Lecornu, renommé vendredi à Matignon.
Contexte
À quand le gouvernement Lecornu 2 ?