Ce dimanche 12 octobre, Frédéric Lopez a reçu
un beau trio dans son émission, Un Dimanche à la
campagne, sur France 2. C’est avec un grand
sourire que le présentateur a ainsi reçu la visite d’Ary
Abittan, la romancière Raphaëlle Giordano
ainsi que le pianiste André Manoukian. Bien
entendu, de nombreuses révélations ont été faites tout au long de
l’émission.

Dans le cas du musicien de 68 ans, il a confié qu’il
jouait du piano totalement nu parfois. Quant à l’humoriste de
51 ans, il était revenu sur
les accusations de viol à son encontre. Rappelons qu’en 2021,
Ary Abittan était visé par une plainte pour viol déposée par

une femme. Un non-lieu initial, en 2024, a été
confirmé en appel par le parquet de Paris, en janvier 2025.

Ary Abittan : sans filtre sur les accusations de viol !

Tout au long de l’émission
Un dimanche à la campagne, Ary
Abittan a fait de nombreuses révélations concernant les
accusations de viol à son encontre. Face à
Frédéric Lopez, il a notamment avoué avoir été « réduit au
silence pour laisser la justice faire son travail ». Cela
pendant plusieurs années. « Et là tout s’arrête Frédéric.
On vous retire tout. C’est une chute
où il n’y a pas de sol », raconte-t-il avec un arrière-goût
amer.

« On vous enlève évidemment le droit de
travailler, on vous enlève tout »,
poursuit-il. Pourquoi n’a-t-il pas continué à travailler ?
« Parce que vous savez très bien, dans ce métier, on fait un
métier d’image. Et vous êtes jugé, pas uniquement sur ce que vous
représentez, vous êtes jugé sur tout. Alors parfois c’est
formidable, mais parfois c’est cruel », explique-t-il.

Ary Abittan : « On m’a arrêté du jour au
lendemain »

Dans son élan, Ary Abittan raconte :
« J’étais même en train de tourner un film, et
on m’a arrêté du jour au lendemain.
Ils ont dû prendre un autre acteur ». En plus, « on me sort
de la vie sociale », poursuit-il en soulignant : « C’est
vertigineux, c’est d’une violence
inouïe, c’est une tempête ».

Toute cette situation avait amené l’acteur de Je vais
mieux à « la dépression ». Une situation « terrible »
dans laquelle il a tout de même réussi à sortir. Cela grâce à
« l’amour », avoue-t-il.