Pour l’un d’entre eux, ces actes remonteraient à l’année dernière, pour l’autre, ils auraient eu lieu entre la rentrée scolaire et sa suspension, le vendredi 26 septembre. Si les accusations s’avèrent fondées, plusieurs enfants seraient concernés. Certains, en classe de grande maternelle l’an passé, seraient désormais scolarisés à l’école Keller, située juste à côté. Le deuxième animateur suspendu aurait également travaillé au sein de cet établissement pendant le mois où il a exercé.