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Originellement, Boracay est le nom d’une petite île des Philippines, réputée pour ses longues plages de sable blanc bordées d’eaux cristallines. Mais c’est aussi le nom d’un pétrolier barbotant dans des eaux beaucoup plus troubles, au cœur de la récente passe d’armes verbale entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine. Le 27 septembre, ce tanker de 244 mètres de long, battant pavillon béninois, a été arraisonné, les cuves chargées de pétrole russe, par des commandos de la marine française, alors qu’il se trouvait en haute mer avant d’être escorté au large de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique). Raison invoquée : « des incohérences présentées par le pétrolier quant à sa nationalité », selon le procureur de Brest. « Un acte de piraterie », commentera, pour sa part, le chef du Kremlin.
Après avoir été placé en garde à vue, le commandant du « Boracay », un marin d’origine chinoise, a finalement été convoqué en février 2026 devant le tribunal de Brest où il sera jugé pour un simple « refus d’obtempérer ». En attendant, lui et son navire, partis du port de Primorsk, près de Saint-Pét…
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