L’Amérique, les Bleus veulent l’avoir et ils l’auront, très certainement. Dès ce lundi soir en Islande ? La Coupe du monde 2026 organisée de l’autre côté de l’Atlantique est dans la ligne de mire de l’équipe de France, pratiquement visible à l’œil nu depuis Reykjavik où elle espère s’en rapprocher définitivement à l’issue du quatrième match de ces éliminatoires pas toujours passionnants, malgré un format resserré, mais tous remportés.
Si ce sans-faute témoigne à la fois de la marge de manœuvre des hommes de Didier Deschamps et du niveau moyen de leurs trois adversaires rencontrés, force est de reconnaître qu’ils se sont offert un confort qui n’est pas à la portée de toutes les sélections. Un nouveau succès couplé à un faux pas de l’Ukraine contre l’Azerbaïdjan permettra aux champions du monde d’obtenir leur visa pour les États-Unis dès octobre, plus de 30 ans après être restés à quai lors de la précédente édition organisée en Amérique du Nord.