François Civil est plus épanoui que jamais, et ça se voit. A 35 ans, le comédien est devenu l’une des valeurs sûres du cinéma français et son CV ne fait que s’allonger au fil des années. Actuellement en promotion du nouveau film dans lequel il joue, Deux pianos d’Arnaud Desplechin, François Civil se concentre sur sa carrière avant d’envisager de construire une famille. Un sujet qu’il avait abordé sur le plateau de Clique, l’année dernière, alors que Mouloud Achour l’interrogeait sur ses envies de paternité.

« Si demain tu apprends que tu vas être papa, quelle sera ta première réaction ? », lui avait lancé l’animateur. « J’ai l’impression quil faut que ça arrive pour savoir, mais là, comme ça, je dirais fou de joie. Mais je pense que l’instant d’après, je peux avoir une sorte de… ‘Ah ! Oh !’ Un peu de panique« , avait répondu un François Civil quelque peu décontenancé.

François Civil s’épanche sur ses relations passées et avoue avoir du mal à faire confiance

Depuis plusieurs années, l’acteur est en couple avec Adèle Exarchopoulos. Interrogée sur sa définition de l’amour, dans les colonnes de Paris Match, la comédienne de 31 ans avait officialisé leur relation, en révélant qu’ils vivaient en effet un « amour fou », titre du film dans lequel elle lui donnait la réplique. « Aujourd’hui, je suis vraiment sûre de moi : c’est l’amour sain. Celui où il y a de l’amitié, où on passe les épreuves en essayant de toujours avoir de l’autodérision et de la complicité. C’est l’amour où tu sais quitter l’autre quand c’est vraiment maléfique, quand c’est trop mauvais. En tout cas, c’est très loin de l’amour toxique que j’idéalisais quand j’étais petite », avait-elle déclaré.

A l’occasion d’un entretien accordé aux Inrocks, François Civil s’est confié sur l’amour et a avoué avoir eu du mal à faire confiance après une grosse déception sentimentale. »Moi je me rappelle le premier gros chagrin d’amour que j’ai eu, ça m’a été dur après de m’abandonner à l’amour« , a-t-il expliqué. Puis d’ajouter : « En fait faut réapprendre l’espèce d’insouciance de la première fois, et on met des des barrières un peu, on met des carapaces, on se protège et je crois que, en tout cas, ça c’était mon parcours, ça a été dur, ça a pris du temps de réussir à me réabandonner à quelque chose avoir confiance complètement ». Des confidences rares de la part du grand ami de Pierre Niney.