Et si nous faisions ensemble l’essai d’un nouveau format de lettre d’informations, pour raconter ce qui se trame à l’intérieur du Telegraphe ?

Afin de bâtir entre vous et nous un espace à la fois plus intime et plus grand. Quelque chose de l’ordre de la confidence et de la ligne d’horizon.

Pas le temps de bavarder ? Allons droit au but !

Au programme cette semaine :

– mercredi 19h : restitution des ateliers d’écriture menés par le collectif Le Cercle, sur invitation de Sacha > entrée libre
– jeudi 19h : Florent en dialogue avec l’invisible et la journaliste Marie-Pierre Planchon > 5€ sur réservation
– jeudi soir : ouverture exceptionnelle du restaurant, menu surprise > 0627542706 pour réserver (appel ou sms)

Plus tard dans le mois ?

– dimanche 26 : participez au premier banquet du Telegraphe ! Une journée d’automne et de vacances pour redéfinir les contours du vivre-ensemble > BRUNCH + ateliers
– mercredi 29 : en famille autour du personnage de Fifi Brindacier, partagez un peu d’audace et de liberté > sortie de résidence + BOUM + GOÛTER + atelier

Où en étions-nous ? Ah oui, quelque part entre la confidence et la ligne d’horizon. Peut-être est-ce l’installation Si mon cœur était un coquillage de la compagnie Microscopique, actuellement au troisième étage du Telegraphe. Peut-être est-ce la scène poétique du collectif Le Cercle, jeudi dernier, marquée par la jeunesse, une forme d’innocence et de sincérité. Peut-être est-ce la rencontre avec l’une d’entre vous ce week-end, dont la vie s’est transformée grâce à l’ouverture du Telegraphe, il y a quelques années.

Ces raisons et quelques autres pour initier des interactions un peu différentes entre vous et nous. Modestement. Nous détacher juste un peu des dates, pour embrasser le présent. Vous dire simplement ce qui est, ce qui vient, ce qui va. Ce qui traverse le Telegraphe et qui souvent ne se voit pas. Ce qui nous élève, ce qui nous inspire, comme d’autres font des prescriptions. Assumer d’être un lieu de vie, un lieu de soin, depuis le premier jour, et même avant.