Entre 2021 et 2025, avant le programme de recherche, entre 40 à 50 jeunes ont participé à des groupes thérapeutiques. Alors que l’objectif est d’en suivre au moins 104, seize adolescents ont participé depuis le début de la recherche en janvier dernier, dont un seul garçon. “Selon la littérature, les garçons, quand ils font un passage à l’acte, c’est souvent plus violent et ils arrivent plus souvent à leurs fins”, explique Allison Goujon.