Les 24 heures du livre se dérouleront du 17 au 19 octobre. Elles accueilleront des auteurs en différents lieux du territoire. L’ouverture officielle de la 11e édition aura lieu vendredi 17 octobre, à 19 h 30 à la mairie, avec la remise officielle du Prix du premier roman du Chambon.
Il a été attribué à Sophie Demange pour son livre Les Bouchères, paru aux éditions de l’Iconoclaste.
L’autrice est née en 1983 et habite Rouen. Elle n’est pas bouchère, mais découpe les chapitres et les personnages comme personne. Directrice au sein d’un établissement médico-social, elle est confrontée à la violence faite aux femmes et aux enfants. Les Bouchères est son premier ouvrage. C’est un roman féministe explosif et jubilatoire où chaque page se dévore jusqu’au rebondissement final. Elle rencontrera le public le même jour, salle de la Gare à 17 h 30.
Histoires et tranches de vie par Denis Infante
Samedi 18 octobre, à la salle de la Gare, ce sera au tour de Denis Infante. Il présentera Rousse ou les beaux habitants de l’univers (éditions Tristram). Denis Infante a été agriculteur, éleveur, bûcheron, maçon… avant de se mettre à écrire. Il n’a plus cessé de raconter des histoires, d’inventer des vies. Rousse raconte l’histoire d’une jeune renarde sur une terre que l’homme semble avoir désertée.
La Ligérienne Corinne Royer avec Ceux du lac
L’Espace d’art contemporain Les Roches ouvrira ses portes pour accueillir deux rencontres. Samedi 18, à 17 h 30, ce sera la Ligérienne Corinne Royer autour de son livre Ceux du lac (éditions Seuil) en compagnie de Mireille Paolini, directrice littéraire aux éditions Seuil. Inspiré d’une histoire vraie, Ceux du lac raconte l’impossible adieu d’une famille tzigane à un royaume qui lui est désormais interdit.
Grégory Buchet à la recherche de Szafran
Samedi 19 octobre, à 15 heures, c’est Grégory Buchet, un artiste plasticien et écrivain qui vit et travaille à Lille, qui présentera Malakoff (éditions Gallimard), son premier roman. Fasciné depuis l’adolescence par l’œuvre de Sam Szafran découvert dans les pages d’un catalogue d’exposition, l’auteur tient le journal d’une errance suburbaine et de son désir d’une hypothétique rencontre avec Szafran lors d’une résidence d’artiste dans la ville de Malakoff.