S’il est souvent pénible d’entendre que “c’était mieux avant” (en particulier quand cela touche à l’art de vivre, les perspectives d’avenir ou la liberté), la musique apparaît peut être comme le seul domaine, où tout le monde semble être d’accord. Après l’arrivée fracassante des CDs, du MP3 ou du streaming, les puristes reviennent aux fondamentaux en relançant, plus que jamais, la culture du vinyle. L’objet en lui-même mais aussi et surtout la qualité de son son. Au point qu’à Paris, ne se développe une foule d’adresses où en écouter tout en grignotant et commandant des verres.
Bambino
Pionnier du genre, Bambino a ouvert ses portes, en 2020, sous les commandes de Fabien Lombardi (déjà aux commandes des différents Faggio bien connus des amoureux de la cuisine italienne. Rue Saint-Sébastien, il y fait fusionner deux passions: les vinyles, qui y passent en boucles, et des recettes solaires à déguster avec des cocktails ou du vin trié sur le volet.
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Bambino à Paris
Fréquence
Mené par Matthieu Biron, Guillaume Quenza et Baptiste Radufe, Fréquence annonce la couleur la porte à peine passée. Bardé de vinyles et de platines, le lieu vibre au son des incontournables du Motown, de classiques disco ou d’inspirations du moment que jouent les DJs de passage. Tandis que l’on y commande des cocktails au sake ou des aubergines marinés.
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