Vu et lu au sujet du PSG dans la presse
hexagonale
 ce jeudi 16 octobre 2025. Quentin Ndjantou
a changé de statut au PSG, la méthodologie autour des titis, vers
une année record pour la vente des maillots…

L'equipe 16 10 2025

Dans son édition du jour, L’Equipe fait un
focus sur Quentin Ndjantou. Le 17 septembre
dernier, Luis Campos assiste à la démonstration de
l’équipe de Youth League contre l’Atlanta
Bergame
(5-1). Dans cette rencontre, Quentin
Ndjantou
marque trois fois. Le dirigeant portugais
découvre l’étendue de la palette du jeune international U19 et
apprécie sa faculté à être ce numéro 9 complet, assure le
quotidien sportif. « Six jours plus tard, alors que le
staff des pros, face aux blessés, mesure le déficit quantitatif, le
milieu offensif fait partie des quatre élus pour renforcer l’équipe
première. Depuis, Ndjantou a joué
128 minutes, dont une titularisation à
Lille, et a semé des promesses. » Une
ascension express qui n’était pas écrite ces dernières années.
Perçu comme un crack à ses débuts en région parisienne
(Arpajon, Villejuif, Paris FC), Ndjantou, arrivé au PSG en
2020, avait été ralenti, plus récemment, par des blessures. Et il
flottait, au centre de formation, des interrogations autour de son
poste à moyen terme, avance L’Equipe. Dès les premiers
jours dans le bâtiment des pros, au-delà de ses qualités, c’est
cette personnalité peu commune qui apparaît aux yeux de
Luis Enrique et de ses adjoints. Le discret
Ndjantou, personnalité introvertie, écoute et
surtout transpose vite en séances. À un poste de relayeur très
exigeant dans la méthode Luis Enrique,
Quentin Ndjantou parvient à appréhender les codes
et les consignes. En privé, à ses coéquipiers,
Ndjantou ne cache pas être impressionné par le
niveau d’intelligence tactique et leurs capacités à faire le bon
choix en une fraction de seconde. Le staff apprécie, lui, la
fiabilité sous pression du néophyte, souligne le quotidien sportif.
« Le numéro 47 traverse ses premières semaines
sereinement. Sans surréagir par rapport à ses apparitions. Mais en
étant conscient de traverser un moment charnière de son parcours.
Avec des choix forts comme le renforcement de son accompagnement
hors terrain – physio, réseaux sociaux… Quand il regagne son
appartement, Ndjantou se met à rêver plus grand.
Cet été, alors que l’Ajax Amsterdam lui promettait
un accès rapide en équipe première, le milieu offensif avait
insisté sur son envie de signer pro dans la capitale. Pour
précisément vivre ce que cet automne 2025 lui a
offert. »

L'equipe 16 10 2025 (1)

L’Equipe évoque
aussi la méthodologie autour des titis du PSG.
Nasser al-Khelaïfi garde un œil attentif sur le
centre de formation et peu parfois poser un regard sévère sur
l’évolution de celle-ci, assure le quotidien sportif. Il y a
quelques semaines, le président du PSG avait fait
part de son mécontentement après le départ de certains jeunes l’été
dernier, estimant également qu’il n’y avait pas assez de talents
capables de jouer pour l’équipe première. « Dans la
foulée, il s’était rapproché de la direction sportive pour
comprendre l’origine de ces problématiques, la questionnant sur le
processus de recrutement, l’accompagnement et le
développement. » Nasser al-Khelaïfi
avait ensuite demandé à Yohan Cabaye, le directeur du centre de
formation avec lequel il entretient un rapport direct solide, de
travailler sur ces aspects en lien avec Luis
Campos
, indique L’Equipe. Ce dernier revient sur
la genèse de la présence des titis dans le groupe pour le
déplacement à Barcelone. Après le
Classico, Luis Enrique et son
staff ont dressé le constat d’une fin de mercato incomplète et du
besoin d’avoir des séances d’entraînement plus consistantes. Le
team manager des professionnels appelle alors celui des U23 pour
lui demander de faire monter quatre jeunes à l’entraînement dès le
lendemain. La promotion de Ndjantou et
Jangeal n’a pas créé trop de remous. Celle de
Khafi et Slama, un peu plus,
assure L’Equipe. Une source du centre de formation indique
: « on ne nous a même pas demandé notre avis. On était
tous surpris pour Yanis, qui a encore des progrès
à faire. Mais Mathieu Le Scornet et Yohan
Cabaye
ne voulaient pas que Wassim monte,
carie n’était pas en état physique de le faire, il revenait à peine
de blessure. » La direction du groupe professionnel outre
ces recommandations, explique le quotidien sportif. Une version
démentie par le PSG qui explique que cette
décision a été prise après une discussion entre
Gagne, directeur adjoint du football
professionnel, et Cabaye. L’Equipe
conclut en expliquant que certains salariés ont évoqué ces
dernières semaines des tensions entre Luis Campos
et Yohan Cabaye. Tension démentie par la haute
direction. 

A voir aussi : Enrique : « Ndjantou a été sensationnel, il a montré
une personnalité forte »

canalsupporters.com

Le parisien 16 10 2025

De son côté, Le Parisien évoque
les ventes des maillots du PSG. Avec la victoire
en finale de la Ligue des champions, les achats
ont explosé. Le quotidien francilien explique que la saison
2025-2026 sera un grand cru dans les boutiques du club et qu’il
sera le meilleur de toute l’histoire du club. Les chiffres
dépassent ceux de l’ère Messi, se félicite-t-on au siège du club.
Le Parisien indique que le pic des ventes de maillots
avait été atteint entre 2021 et 2023. À cette époque, le
PSG avait atteint le cercle très fermé des clubs
écoulant plus d’un million de maillots par an. « Si
Liverpool, le Real Madrid et le
FC Barcelone gardent une bonne longueur d’avance,
le PSG se rapproche du podium. » Selon
les premiers indicateurs dont Le Parisien a eu
connaissance, les courbes du PSG explosent
réellement depuis trois mois. Entre juillet et septembre, la courbe
des ventes de maillots a augmenté de 50% par rapport à 2022, année
du précédent record. Pour les ventes en ligne, l’augmentation est
spectaculaire : +217% par rapport au premier trimestre de la saison
2024-2025. Si le PSG réalise 80% de ses ventes en
France, son activité à l’étranger prend de
l’ampleur. Du côté de Nike, on attend avec impatience la
sortie du nouveau maillot en collaboration avec Jordan
avant les fêtes de fin d’année, conclut Le
Parisien.