Depuis la rentrée,
Hugo Clément
s’est installé autour de la table de
Quelle Époque !
, le talk-show de France 2 emmené par

Léa Salamé
. À 36 ans, l’ancien visage du Petit Journal
et de
Quotidien
s’essaie à un tout nouvel
exercice
. Celui du chroniqueur en
plateau
, loin des terrains hostiles où il tournait ses
enquêtes pour Sur le Front sur France 5. Chaque samedi
soir, il invite les personnalités présentes à revenir sur un
objet marquant de leur parcours.

Un pari réussi pour celui qui, après un mois à l’antenne, semble
avoir trouvé sa place dans une équipe soudée et
complémentaire. Suivi par plus d’un million de
téléspectateurs
en moyenne, Quelle Époque ! reste
l’un des rendez-vous les plus suivis du week-end sur France 2. Et
si la complicité entre
Hugo Clément et Léa Salamé
saute aux yeux à l’écran, elle se
confirme aussi en coulisses.

“On est très…” : Hugo Clément et Léa Salamé, une
entente naturelle

Interviewé par
Télé-Loisirs
, Hugo Clément n’a pas caché son
enthousiasme pour cette collaboration avec la
journaliste. “Je prends beaucoup de plaisir,
et je pense que cela se voit à l’antenne. Je suis très
content de travailler avec Léa, que j’admire beaucoup
. On
est très complémentaires.” Une
complicité évidente née d’un
respect mutuel et d’une répartition des rôles bien
rodée. “Les rôles sont bien
définis
. À aucun moment on ne s’est demandé comment faire
pour qu’elle reste l’animatrice. C’est une
évidence, c’est son émission, et je
m’ajoute à ce dispositif.
Tout s’est fait très
naturellement.”

Celui qui occupe désormais le fauteuil de
Christophe Dechavanne
a aussi tenu à préciser que son arrivée
dans Quelle Époque ! n’avait rien d’un caprice
personnel.
“Je ne me suis pas
auto-embauché
! L’idée venait de Léa et de Régis
Lamanna-Rodat
. Si ma présence n’avait pas eu
d’utilité, je n’aurais pas insisté
.” explique-t-il
avec humour.

Un journaliste épanoui et
reconnaissant

Au-delà de cette nouvelle expérience, Hugo
Clément reste fidèle à ses engagements écologiques
et à ses racines journalistiques. “Je
n’arrête pas Sur le Front, c’est simplement
un exercice qui s’ajoute. Dans la vie, je ne
m’intéresse pas qu’à l’environnement. Je suis
passionné par plein de choses comme le sport. Et
je suis content de pouvoir le montrer.”

Toujours attaché à Quotidien, l’émission qui l’a
révélé, le journaliste reconnaît ce qu’il doit à
cette aventure télévisuelle. “Je suis tout à fait
conscient de ce que Quotidien m’a
apporté. Je ne pourrais pas faire ce que
je fais aujourd’hui sans cette expérience
. Ça m’a appris
un ton, une manière de décrypter
l’actualité
.”