PORTRAIT – Le journaliste de France Télévisions, propulsé par «Le Petit Journal» et connu pour ses engagements écolos, semble agacer tout le monde. C’est la rançon d’une liberté qu’il défend jalousement, mais le fruit aussi de plusieurs malentendus, qu’il devenait urgent de dissiper.
Mais vers où court Hugo Clément ? Après la notoriété, comme disent les jaloux ? Après le buzz, comme raillent ses adversaires ? Ou l’argent, comme le suggèrent quelques mauvaises langues qui le croisent au somptueux Hôtel de Crillon où il prend ses quartiers quand il est à Paris ? Ce matin, Hugo Clément ne court qu’après son coach. Et plutôt vite. Ses foulées pressées interrompent à l’aube la quiétude de l’hippodrome biarrot. La côte basque se dore aux rayons cléments d’un chaud soleil d’automne – de ces soleils qui vous passent pour de bon l’envie de revenir un jour vivre à la capitale. Sur sa montre de sport dernier cri, une pression machinale du doigt vient arrêter le chronomètre. Gorgée d’eau, poignée de main, barre de céréales : on retrouve Hugo Clément assis et suant à grosses gouttes, en pleine séance de fractionné avec ses entraîneurs, Frédéric Belaubre et Charlotte Morel, deux champions français de triathlon auprès de qui le chroniqueur vedette de l’émission «Quelle époque» sur France 2 se prépare pour des défis sportifs à venir. Car non content d’être producteur et animateur sur l’audiovisuel public, celui qui s’était fait connaître pour ses reportages dans l’émission de Yann Barthès s’est lancé dans une pratique intensive de la natation et la course à pied.
Plus qu’un coach, «Fred» est devenu son coéquipier : l’avant-veille encore, Hugo et lui…
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