Quatre d’entre eux, tous porteurs de handicap et contraints de se déplacer en fauteuil roulant, disent vivre un calvaire en raison de pannes à répétition. « Il y en a eu environ 300 en six ans », comptabilise Otto, 36 ans, un locataire du premier étage atteint de tétraplégie. « Avant chaque rendez-vous ou quand je dois prendre le train, je suis envahi par le stress à l’idée de ne pas pouvoir descendre ou de rester coincé », témoigne Paul, 56 ans, habitant du troisième étage.