C’était il y a quelques jours. Donald Trump racontait devant les médias comment il avait ordonné la destruction de plusieurs bateaux au large du Venezuela, il offrait aux chaînes de télévision des images de ces opérations menées par la CIA et faisait d’une certaine manière entrer le citoyen américain dans la war room de la Maison-Blanche. Trump se comportait finalement davantage en patron de la CIA qu’en président.

Dans un essai lumineux, La Puissance et l’Ombre. 250 ans de guerres secrètes de l’Amérique*, le chercheur Raphaël Ramos – par ailleurs membre de la rédaction d’Intelligence Online – raconte comment, depuis la création des États-Unis, les responsables politiques ont utilisé avec plus ou moins de bonheur l’outil « renseignement ». Plus qu’un livre sur le déploiement progressif d…

Toute l’actualité à 1€ le premier mois

S’abonner

ou