Ce film belge, très sensible, qui traite le sujet avec délicatesse, produit par Ann Sirot et Raphaël Balboni, montre les difficultés d’un fils (Alex), d’abord dans le déni face à la maladie de sa maman. Il va devoir se résoudre à accepter cette maladie et ce qu’elle provoque, aidé de sa compagne et d’un aide à domicile.

Le film, bienveillant, parle d’incompréhension, d’impuissance, de culpabilité, mais surtout de tendresse et d’amour. Il pose des questions existentielles : faut-il s’oublier pour soigner ? La joie, les…