DÉCRYPTAGE – L’ascension vers le plateau de Solaison dessinera un temps fort esthétique. Un site installé comme une curiosité cyclotouristique après les passages du Tour de l’avenir 2014, du Critérium du Dauphiné 2017 et 2022.
La saison étourdie par les tours de magie de Tadej Pogacar vient de fermer les yeux. Les souvenirs sont encore chauds et, avant l’hibernation, le Tour de France s’apprête à lever le voile sur sa 113e édition (du 4 au 26 juillet 2026), ce jeudi, au Palais des congrès, à Paris. Le triptyque de départ est connu (un contre-la-montre par équipes de 19,7 km à Barcelone en ouverture, une 2e étape allant de Tarragone à Barcelone, avant une 3e étape partant de Granollers). La suite réserve des surprises, comme le dimanche 19 juillet, jour de la finale de la Coupe du monde de football, quand la 15e étape de la Grande Boucle conduira le peloton de Champagnole au plateau de Solaison (184 km), au-dessus de Bonneville, en Haute-Savoie. En escaladant le mont Salève (par le col de la Croisette, 1 175 m ; 4,7 km à 11,2 %), à 50 km de l’arrivée (« Ce n’est pas un escargot comme le Puy-de-Dôme mais, en termes de difficulté, c’est exactement la même chose, une sorte de piste d’envol pour les plus forts »
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