Brigitte Bardot va bien. Et elle tient à le faire savoir. Elle a pris la parole elle-même sur le réseau social X pour démentir ce qu’elle a elle-même qualifié de « rumeur ». « Je ne sais pas quel est l’imbécile qui a lancé ce soir cette fake news sur ma disparition mais sachez que je vais bien et que je n’ai pas l’intention de tirer ma révérence. À bon entendeur », a-t-elle conclu son message lapidaire à l’égard des oiseaux de mauvais augure qui avait annoncé la nouvelle.

Parmi ceux-ci, l’habitué des réseaux sociaux, Aqababe. « D’après mes informations exclusives, Brigitte Bardot serait décédée aujourd’hui. Son cercueil aurait été commandé à Saint-Paul-de-Jarrat dans le 09. Une icône s’éteint, laissant derrière elle un héritage inoubliable et une empreinte éternelle dans le cœur des Français », avait-il tweeté vers 21h40, avant de supprimer opportunément son message.

Le message annonçant la mort de Brigitte Bardot sur les réseaux sociaux d'Aqababe.Le message annonçant la mort de Brigitte Bardot sur les réseaux sociaux d’Aqababe.

« J’ai supprimé mon tweet exclusif concernant le décès de Brigitte Bardot », a-t-il réagi sur X après le démenti de l’intéressée…

Rumeur qui se propage

La rumeur a alors pris de l’ampleur au gré des partages du tweet de l’influenceur qui traite d’ordinaire l’actualité de la téléréalité. Même la fiche Wikipédia de l’actrice du « Mépris » avait été « mise à jour » pendant quelques minutes.

La santé de Brigitte Bardot avait inquiété il y a quelques jours. Elle était rentrée chez elle pour se reposer après une intervention chirurgicale qui avait nécessité son hospitalisation à Toulon (Var). L’ancienne icône du cinéma français « a été brièvement hospitalisée auprès de l’Hôpital privé Saint-Jean à Toulon pour subir une légère intervention chirurgicale qui s’est déroulée de manière particulièrement satisfaisante », avait indiqué son secrétariat à l’époque.

« BB », la fermière

« BB », qui a tiré un trait sur le cinéma dans les années 1970 pour se consacrer à la cause animale, vit entre sa célèbre résidence de La Madrague à Saint-Tropez, dans le Sud de la France, et une seconde maison cachée dans la verdure, La Garrigue, abritant des animaux et une chapelle privée.

En mai dernier, dans une interview à BFMTV, elle avait assuré vivre « comme une fermière » entourée de ses moutons, ses cochons, ses chiens, ses chats, son âne et sa ponette et ne posséder « ni portable, ni ordinateur ».

L’annonce de sa mort a visiblement énervé la femme de 91 ans. L’interprète mythique de « Et Dieu créa la femme » a logiquement remis l’église au milieu du village… de Saint-Tropez, bien sûr.