Il est brouillon, généreux, inquiet, Andrzej Dalla Vite. Il a publié une première version de son livre, Rital et Polak à la fois, avant de la rééditer – une fois relue et corrigée*. Est-ce que les lecteurs lui en ont tiré grief ? Pas du tout. « Tous ceux qui l’ont lu en entier l’ont bien aimé. »

Son livre raconte son enfance mosellane, dans un village renommé Fontes. Mais Fontes, c’est Fontoy, et Andrzej…