Avant son entrée en lice à Paris, le n°1 mondial a tiré la sonnette d’alarme sur la surcharge du calendrier. « Nous n’avons pas le temps de souffler ni de nous entraîner », regrette Alcaraz, appelant à un vrai changement dans le tennis moderne.
Carlos Alcaraz, n°1 mondial chez les messieurs, est l’un des joueurs qui s’exprime le plus régulièrement sur la densité du calendrier ATP. Avant de faire ses débuts au Rolex Paris Masters, l’Espagnol s’est présenté face aux médias.
Il a, une nouvelle fois, mentionné ce qui rend la gestion du calendrier difficile pour les joueurs :
« Je ne sais pas quel serait le nombre idéal de matchs que nous devrions jouer (chaque saison). Je ne suis pas en mesure de vous donner un chiffre exact. Mais ils doivent faire quelque chose par rapport au calendrier.
Le nombre de tournois que nous devons jouer est trop important. Nous n’avons pas vraiment de moments où nous pouvons prendre le temps de nous entraîner ou de nous reposer.
Pendant la saison, c’est semaine après semaine. Nous n’avons pas la chance d’avoir une semaine pour préparer idéalement les tournois ou ce qui nous attend.
Je vais réfléchir au nombre de matchs que nous devrions jouer et je vous en ferai part plus tard (sourire). »