Rien ne va plus pour le prince
Andrew.
L »ex de Sarah Ferguson se retrouve à nouveau dans la tourmente.
L’objet du litige ? Le Royal Lodge,
sa somptueuse demeure de Windsor. Depuis des semaines, la
controverse autour de son bail gratuit déchaîne le
public et les médias. Le scandale Epstein et
les mémoires posthumes de Virginia Giuffre alimentent la
colère.
Hier, le palais a convoqué les
journalistes au manoir, avant de se rétracter en fin de journée.
Selon le Daily Mail,
Buckingham pousse Andrew à partir, afin de calmer la tempête
médiatique. Les discussions portent sur son futur logement et sur
l’indemnisation des millions investis pour la
maison.
La pression du palais et le
choix des filles
Des sources royales confirment
que le palais souhaite protéger
les princesses Béatrice et Eugénie. Leurs résidences ne doivent
pas être affectées. Andrew pourrait s’installer dans l’une des
propriétés privées du roi, comme Sandringham ou
Balmoral. Mais le prince préfère rester à Londres ou à
Windsor, proche de ses filles.
La controverse sur son
loyer riquiqui et la version expurgée du bail de 2003
continuent d’alimenter les critiques. Le Times a révélé des clauses
légales mais opaques sur le paiement du loyer, soulevant de
nouvelles interrogations sur la transparence du
prince.
Prince Andrew : entre héritage et scandale
Andrew a
renoncé à son titre de duc d’York la semaine dernière pour
protéger la famille royale. Pourtant, il reste
prince et le scandale domine encore les gros titres. Ses paiements
pour régler l’affaire avec Virginia Giuffre atteignent
plusieurs millions, malgré ses dénégations. Les
tensions persistent, et le roi souhaite limiter les distractions
autour de son travail et de celui du prince de Galles.
Andrew craindrait que le Royal
Lodge devienne une base pour la reine, mais le palais dément.
Chaque pas d’Andrew, de ses négociations à son futur
logement, sera scruté. Sa prochaine décision pourrait
marquer une rupture définitive avec la vie royale
traditionnelle.