Séducteur dans l’âme, Nicolas Sarkozy a eu une vie sentimentale
pour le moins remplie. C’est d’abord auprès de Marie-Dominique
Culioli que l’homme politique s’épanouit. Ensemble, le couple
accueille deux fils : Pierre et Jean. Malheureusement, et après de
nombreuses années de bonheur, Nicolas et son épouse divorcent. Il
faut dire que le coup de foudre du politicien pour Cécilia Attias
n’arrange rien et signe l’arrêt de sa relation avec la mère de ses
deux fils. Sarkozy ne perd toutefois pas espoir et retente
l’aventure du mariage avec Cécilia en 1996.

Cécilia Attias dévoile son meilleur souvenir avec Nicolas
Sarkozy

Fou amoureux de sa seconde femme, Nicolas Sarkozy devient avec
elle père pour la troisième fois avec l’arrivée de Louis en
1997. Dans un entretien accordé à ELLE il y a plusieurs
années, Cécilia Attias révélait alors que la naissance de
son fils est le plus beau souvenir de sa relation avec

celui qui est aujourd’hui incarcéré à la prison de la
Santé.

« Les années qui l’ont précédée et celles qui l’ont
suivie », lui restent ainsi en mémoire. « J’ai le
souvenir magique de ces moments d’insouciance où nous construisions
notre couple et notre bonheur », confie alors Cécilia
avant d’admettre toutefois la raison pour laquelle son
histoire avec Nicolas Sarkozy a commencé à prendre l’eau :
« La course s’est accélérée et la politique nous a
happés ».

Une première rupture qu’elle regrette

Car en effet, Cécilia Attias a quitté une première fois
Nicolas Sarkozy avant qu’il ne devienne président de la
République. Questionnée par nos confrères de ELLE sur sa
décision de finalement revenir auprès du politicien, la mère de
Louis répond : « Je suis mal partie, trop vite.
En laissant de côté toutes les valeurs et tous les principes qui
étaient les miens. Il a fallu que je revienne pour être en
accord avec moi-même, et essayer jusqu’au bout de sauver
ma famille ».

L’ancienne Première dame admet avoir
« peut-être » ressenti de la culpabilité lors de son
départ. Mais
leur seconde rupture en 2007, elle, sera bel et bien
définitive. « Cette fois, je veux être au clair et au net,
je veux être correcte. Aujourd’hui, je ne pars pour rien ni
pour personne. Je fais les choses comme il faut, je me
tiens droite, je me tiens comme Dieu le veut, dit une expression
espagnole. Je veux être celle qui se tient droite, sans mensonge,
sans faux-semblant, librement. Mais il s’agit d’une
décision terriblement difficile. Je suis morte de peur
comme une femme qui sait qu’elle saute dans le vide… »,
poursuivait-elle lors de cette même interview.

L’ancienne Première dame évoque un
« devoir d’épouse »

Si Cécilia Attias s’est à l’époque remise avec Nicolas Sarkozy,
c’est aussi et surtout parce qu’elle estimait que son
devoir était celui d’accompagner son mari jusqu’à la
présidence. « C’était mon devoir d’épouse. Je ne
voulais surtout pas être un problème pour lui, je voulais
être à ses côtés, l’aider à réaliser son ambition »,
assurait-elle encore.

« Et c’est toujours ma conviction de citoyenne que Nicolas
est un très grand homme d’Etat, le meilleur pour la France, et
qu’il va vraiment faire avancer les choses. Nuit et jour, pendant
vingt ans, je ne l’ai pas lâché mais, aujourd’hui, il n’a
plus besoin de moi », estime Cécilia qui a depuis
refait sa vie avec Richard Attias.