Blessure intime. Depuis ce 27 octobre, le tribunal correctionnel de Paris juge 10 personnes accusées d’avoir participé à une campagne de cyberharcèlement autour du genre de Brigitte Macron. Répandue il y a 5 ans, cette rumeur autour de la première dame qui serait en réalité un homme a profondément affecté l’épouse d’Emmanuel Macron et ses proches. « Quand ses petits-enfants entendent dans la cour de récréation : « Écoute, ta grand-mère, c’est pas ta grand-mère, c’est un grand-père », elle est touchée, elle est meurtrie », a, en effet, expliqué Tristan Bromet, le directeur de cabinet de Brigitte Macron, dans l’enquête Ligne Rouge de BFM TV intitulée Histoire d’une fausse information, l’affaire Brigitte Macron.
