Cette fois la formule aller-retour n’offrira pas une seconde chance et c’est bien ce qui rend le rendez-vous de ce soir, bien plus exaltant que ne l’était le précédent en quarts.

En résumé, le vainqueur mettra un pied en finale et mieux vaut que cela soit le GFCA, s’il veut conserver l’avantage du terrain lors d’un éventuel match d’appui le 5 mai et surtout, éviter un retour en Provence dans une semaine, la trouille au ventre.

Pour l’heure, tout cela n’est que des scénarios échafaudés à l’avance, que la glorieuse incertitude du sport prend souvent un malin plaisir à déjouer si l’on se remémore les phases finales douloureuses en Ligue A (cinq demi-finales perdues entre 2013 et 2019) et les dernières improbables, vécues ces trois dernières saisons en Ligue B.