Publié le
30 oct. 2025 à 17h46
C’est peut-être les vacances scolaires, mais la planète rugby, elle, n’est pas en repos. Bien au contraire, elle est active à souhait. Grâce à Actu Rugby, ne perdez pas un temps fou à scroller partout : voici les 5 infos rugby majeures de ce jeudi 30 octobre ! Suivez le guide.
Montpellier : Stuart Hogg de retour
L’arrière de Montpellier Stuart Hogg va retrouver la compétition samedi selon l’Équipe. L’international écossais (33 ans, 100 sélections) va faire son retour dans l’équipe qui recevra Clermont samedi, 6 mois après s’être rompu le tendon d’Achille gauche en avril dernier. Et c’est à l’ouverture qu’il fera son retour : « Le poste de 10 demande moins de vitesse et de déplacement que le poste de 15. À son âge, obligatoirement, il va baisser en intensité » , a déclaré le manager héraultais Joan Caudullo sur le site internet du quotidien.
Castres : Tom Staniforth prolonge
Le 2e ligne Tom Staniforth reste à Castres. L’Australien était en fin de contrat en juin prochain. Il a signé pour 1 saison supplémentaire, soit jusqu’en 2027. Le joueur de 31 ans était arrivé dans le Tarn en 2020.
Pau : Whitelock out
Le capitaine de la Section paloise Luke Whitelock va se faire opérer. Le 3e ligne néo-zélandais (34 ans, 7 sélections) souffre d’une blessure à un tendon d’Achille qui nécessite une intervention chirurgicale. Il sera éloigné des terrains durant un mois environ.
Vannes : 15 000 places vendues en une demi-heure
La délocalisation à Rennes du match contre Grenoble le dimanche 16 novembre à 21 heures ressemble à l’idée du siècle du côté de Vannes. En effet, le club breton a annoncé que la totalité des places mises à la vente ce jeudi à 14 heures a trouvé preneur en 30 minutes. Il y en avait environ 15 000, alors que la capacité du stade Roazhon Park avoisine les 30 000 sièges (le reste des billets étant réservé aux abonnés, membres du groupe de supporters vannetais et clubs partenaires).
Biarritz : 450 000€ disparus
Menacé de relégation au printemps dernier, le Biarritz Olympique devait verser une garantie financière de 2,7 millions d’euros en trois tranches pour rester en Pro D2. Après un premier paiement tardif de 945 000 euros mi-septembre, l’Autorité de régulation du rugby (A2R) a découvert qu’environ la moitié de cette somme avait été retirée dès le lendemain, prétendument pour « faire travailler l’argent », comme le révèle l’Équipe. Cette manœuvre, réalisée sans l’accord de l’A2R, remet en cause la validité de la garantie et s’ajoute à d’autres irrégularités comptables. L’affaire éclate alors que le club, dirigé par le milliardaire Pierre-Édouard Stérin, s’apprête à changer de gouvernance.
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