ENTRETIEN – Cinquante ans après sa création en France, l’Office central de lutte contre le trafic des biens culturels (OCBC) enquête sur le casse du Louvre, en duo avec la Brigade de Répression du Banditisme (BRB). Un travail de longue haleine, mené par des «unités d’élite».

Cinquante ans après sa création, l’Office central de lutte contre le trafic des biens culturels (OCBC) mène l’enquête sur le casse du Louvre en collaboration avec la Brigade de répression du banditisme (BRB). Un travail de fourmi, qui a abouti mercredi 29 octobre à cinq nouvelles interpellations de suspects. Depuis plusieurs années, le journaliste Luc Larriba mène des investigations sur le trafic d’œuvre d’art et a rencontré des enquêteurs de l’OCBC. Avec la dessinatrice Laure Fissore, il a publié en mai dernier l’ouvrage Trafic d’œuvres d’art. Une enquête au cœur de l’OCBC, aux Éditions de La Martinière.

LE FIGARO.- Plus de 100 enquêteurs travaillent sur l’affaire du cambriolage au musée du Louvre. Dans votre livre, vous expliquez le rôle conjoint de la Brigade de répression du banditisme (BRB) et de l’Office central de lutte contre le trafic des biens culturels (OCBC). Comment se coordonnent-ils ?

Luc LARRIBA.- Dès qu’il y a un braquage à Paris, c’est la BRB, qui intervient. Et au…

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Le Figaro

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