« Cela faisait 13 ans qu’il n’y avait pas eu une saisie aussi importante », a souligné le chef de la police judiciaire parisienne.

lire plus tard

Pour sauvegarder cet article, connectez-vous ou créez un compte franceinfo

Sans paiement. Sans abonnement.

Fermer la fenêtre d’activation des notifications France Info

créer votre compte

se connecter

Fermer la fenêtre de présentation

Publié le 31/10/2025 20:14

Temps de lecture : 1min

Le chef de la PJ parisienne se félicite de cette saisie de drogue, la plus grosse depuis plus de 10 ans. (EMMA BUONCRISTIANI / MAXPPP)

Le chef de la PJ parisienne se félicite de cette saisie de drogue, la plus grosse depuis plus de 10 ans. (EMMA BUONCRISTIANI / MAXPPP)

« Quasiment deux tonnes de résine de cannabis » ont été saisies, annonce, vendredi 31 octobre, sur France Inter, Fabrice Gardon, chef de la police judiciaire parisienne. Les policiers ont démantelé un réseau de trafic de stupéfiants entre le Maroc, l’Espagne et la France. Ils ont interpellé en début de semaine une dizaine de personnes suspectées de participer à ce trafic. Elles ont été placées en garde à vue.

« C’est une guerre que l’on mène, une guerre de longue haleine. On gagne des batailles et on va continuer d’en gagner », s’est réjoui Laurent Nuñez, ministre de l’Intérieur, lors de la présentation de cette saisie de drogues à la préfecture de police de Paris.

« Il y a des gardes à vue encore en cours, on ne peut pas trop rentrer dans les détails », explique Fabrice Gardon. « Ce qu’on peut dire, c’est qu’on a saisi quasiment deux tonnes de résine de cannabis. Cela faisait 13 ans que, sur le ressort de la préfecture de police, il n’y avait pas eu une saisie aussi importante », assure-t-il.

Selon les informations de France Inter, cette opération de police a eu lieu en début de semaine dans l’Essonne, près de Paris, alors que les suspects venaient tout juste d’acheminer la drogue depuis l’Espagne. Les suspects interpellés sont originaires de plusieurs départements autour de la capitale. Ils vont être déférés samedi devant des magistrats de la Jirs (juridiction interrégionale spécialisée).