Conflits familiaux – L’acteur du « Silence des agneaux » est désolé de la décision de sa fille de couper les ponts avec lui, mais n’éprouve pas de rancœur
Anthony Hopkins et sa fille unique sont fâchés et ne se sont pas vus depuis de nombreuses années. Face à cette rupture, l’acteur de 87 ans préfère ne pas s’enfermer dans l’amertume et la rancœur. Dans son nouveau livre autobiographique intitulé We Did Ok, Kid (On s’en est bien sortis, gamin), sorti le 28 octobre, l’acteur oscarisé aborde la douloureuse question de ses mauvaises relations avec sa fille Abigail, qu’il a eue avec sa première femme, la comédienne britannique Petronella Barker.
Quand un journaliste du New York Times, qui l’interrogeait sur cette longue fâcherie, lui a demandé si sa fille avait lu son livre, l’acteur a botté en touche, répondant qu’il ne voulait pas la blesser.
Pas de rancœur
Blessé, le comédien multirécompensé avoue que lui, il ne l’est pas vraiment, prenant soin de ne pas se complaire dans la délectation morose. Et il a invité sa fille à en faire autant. « Parfois, les gens sont blessés. Parfois, nous sommes blessés. Mais on ne peut pas vivre comme ça. Il faut se dire : « Passe à autre chose ». Et si elle n’y arrive pas, tant pis, bonne chance. Je ne la juge pas. Mais j’ai fait ce que j’ai pu. Voilà. C’est tout ce que j’ai à dire », a-t-il expliqué. « Si tu veux perdre ton temps avec du ressentiment, vas-y ! Ça n’est pas mon truc. J’aurais pu garder de la rancœur, mais c’est la mort ».
Anthony Hopkins a cependant tenté de renouer avec la musicienne et actrice, née en 1968. « Ma femme, Stella, lui a envoyé une invitation pour venir nous voir. Pas un(…)
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