Sous les ors du salon de la Paix, à la préfecture de région Provence-Alpes-Côte d’Azur, le moment est solennel, ce lundi 3 novembre. D’un coup de stylo, État, ministre des Transports Philippe Tabarot et collectivités locales ratifient le volet mobilités du contrat de plan État-Région (CPER), qui va permettre la « mise en œuvre de projets structurants » pour les transports provençaux, d’ici à 2027. Ultime étape « d’années de travail », souligne le préfet Georges-François Leclerc, quelques heures avant son pot de départ.

Comme révélé par La Provence, cet avenant est particulièrement important puisqu’il va mobiliser, dans les années à venir, 1,8 milliard de financements, contre 1,5 prévus initialement. Ces investissements vont être fléchés vers des projets d’ampleur, dont 1,1 milliard de l’État et de la Région, et 747 millions d’autres financeurs, comme des acteurs privés.

« C’est une nouvelle étape importante pour les transports de notre région, qui va améliorer concrètement la vie de nos concitoyens, a lancé le ministre des Transports, Philippe Tabarot, tout sourire. C’est l’aboutissement d’un dialogue exigeant entre l’État, la Région, les collectivités locales et les acteurs économiques, …