Depuis quelques années, Michel Sardou a quitté Paris pour s’installer sur la Côté d’Azur et plus précisément à Bormes-les-Mimosas, dans le Var. Dans les colonnes du journal régional, Var Matin, il se confie sur cette décision.

À 78 ans, Michel Sardou n’a plus envie de vivre en région parisienne. Né dans le 18e arrondissement, il a grandi dans la Meuse avant de retourner en Île-de-France pour suivre sa scolarité. Une région qu’il n’a pas quittée puisque grâce à son immense carrière, il a fait l’acquisition d’une immense maison de 700 m2 située à Neuilly sur Seine. Une villa récemment mise en vente à près de 19 millions d’euros, tout comme sa maison située en Normandie. En effet, l’interprète de La maladie d’amour a plié bagage pour aller s’établir à plus de 850 km de chez lui. C’est à Bormes-les-Mimosas, dans le Var, qu’il s’épanouit. Fini la grisaille parisienne, il profite désormais des températures clémentes de la Côte d’Azur et du soleil (presque toujours) omniprésent. C’est en septembre 2023 qu’il a fait l’acquisition de cette villa de plus de 500m2. Pour avoir sa propre piscine ainsi que sa superbe vue mer, Michel Sardou a dû dépenser 6,3 millions d’euros.

Michel Sardou a déménagé dans le Var : « Ici, on ne m’emmerde pas »

Dans les colonnes de Var Matin, Michel Sardou s’est livré sur cette nouvelle vie. Celui qui ne prévoit plus de remonter sur scène pour une raison précise explique pourquoi il a choisi ce coin-là : « Je ne voulais pas de Nice, ni de Cannes. J’ai cherché vers Cassis avant de me rapprocher d’ici… J’ai regardé la vue… » Non seulement, il aime sa nouvelle villa, mais il apprécie également de pouvoir vivre en toute tranquillité. « Ici, on ne m’emmerde pas« , avoue-t-il, « On ne me demande pas de selfie… » Capable de sortir sans être sollicité, il peut même promener sa chienne « à la plage, parce qu’elle aime nager », sans être dérangé.

Michel Sardou a des projets dans sa région d’adoption

Devenu un véritable sudiste, Michel Sardou a même des projets avec sa ville. « Je vais organiser un concours de boules en l’honneur de mon père, ici à Bormes », révèle-t-il avant de préciser qu’il s’agira d’un « vrai championnat ». Mais pour ça, il doit en parler avec « avec le maire, prendre contact avec le président national de la Fédération française de pétanque et de jeu provençal ». De quoi l’occuper pendant plusieurs mois !