On est loin, mais très très loin, de la folie post-Covid, des mois euphoriques où les biens immobiliers, quels qu’ils soient, quels que soient les secteurs, leur état, leur étiquette énergétique, leurs prestations, se vendaient presque comme des petits pains. Souvent sans négociation et plus fort, parfois, sans condition suspensive de prêt. Une époque bénie des dieux pour les primo-accédants, les secundo accédants, les investisseurs en tous genres.
Une époque qu’on ne reverra pas de sitôt parce qu’après avoir connu une baisse de volume de transactions de – 26 % en 2023, tous types de biens confondus, le département du Rhône a subi une baisse de 8,2 % en 2024. Laquelle n’est semble-t-il pas près d’être stoppée à moins, peut-être, que la baisse des taux d’intérêt prévue…