S’il y bien quelque chose dont on ne peut pas se passer, c’est
d’un déodorant. Homme ou femme, on s’est toutes et
tous retrouvé(e)s, un jour, en galère de déo. Que cela soit en rade
à la maison ou une panne d »anti-transpirant au boulot… Ça sent le
vécu, au sens propre comme au figuré. Mais comment s’y
retrouver parmi toutes ces marques de déodorant ? Faut-il
choisir le déodorant en spray, à
bille ou sous forme de crème ?
L’application Yuka a la solution. Et pas
moins de 7 choix de déo à vous proposer. Suivez le guide
!

Une petite histoire du déodorant à travers les âges

Il ne faut pas avoir fait Saint-Cyr pour savoir que le déodorant
sert à masquer les mauvaises odeurs corporelles.
Certains sont également anti-transpirant, impliquant, de
facto, qu’il bloque la transpiration du corps humain notamment
sous les aisselles. Le déo est rapidement devenu un produit
cosmétique utilisé par le plus grand nombre. À la
préhistoire, l’odeur corporelle était un marqueur servant à
distinguer un ami d’un ennemi.

Les temps changent et, heureusement, on a fait des progrès en
matière d’hygiène. Si les Romains se vautraient
dans des orgies de bouffe et de sexe, ils s’aspergeaient aussi de
divers parfums pour faire disparaître les mauvaises odeurs. Et
faire illusion. À partir du XVIIIème siècle, on part à la chasse
aux odeurs considérées comme malsaines. Le déo, dans sa
forme primaire, apparaît avec l’hygiénisme fin du
XIXème…

Les dangers pour la santé inhérents au déodorant

Ainsi, le déodorant, au départ, agit de trois manières
distinctes : 1) il s’attaque aux mauvaises odeur avec des
ingrédients parfumés , 2) il absorbe la sueur
grâce à du talc ou de la poudre
végétale, 3) il contient des bactéricides
à base d’alcool. Tout cela pour un même combat, bloquer la mauvaise
odeur et éviter la sueur corporelle. Certaines personnes
préfèrent le naturel et donc utilisent la célèbre pierre d’Alun
naturelle comme déo.

Toutefois, attention, la pierre d’Alun synthétique est sujette à
caution. La raison ? La présence de sel d’aluminium qui est
néfaste pour la santé. En réalité, de nombreux composants
dans les déodorants industriels sont dangereux. Au milieu
des années 2000, en France, l’Assemblée nationale vote
l’interdiction des parabènes
soupçonnés de provoquer des cancers. Notamment le
cancer du sein et la myofasciite à
macrophages.

Yuka vous conseille 7 déodorants avec
100/100

2025, il est toujours difficile de bien choisir son déo. Comment
éviter la nocivité tout en gardant un budget décent ? C’est-à-dire
préserver notre santé
et aussi celle de notre portefeuille. Pas de panique.
L’application française Yuka est là pour ça. Petit rappel,
il s’agit d’une app permettant de scanner les produits alimentaires
et cosmétiques pour en connaître la composition. Et, donc,
de savoir si oui ou non ledit produit est bon pour la santé. Yuka a
passé au crible le rayon déodorant. Et voici sept gammes qu’il vous
recommande.

7 marques de déo qui ont obtenu la note ultime de
100/100 sur la fameuse application,
selon un article de Marie Claire. On a donc le
déodorant crème Même, à 8,59 €, le déodorant
naturel stick Fleur de Coton Respire, à 14,90 €,
le déodorant solide peaux sensibles douceur marine
Lamazuna, à 12,90 €, le Roll-on peaux sensibles
Melvita, à 12,50 €, le déodorant soin énergisant
citron bio Coslys, à 5,99 €, le déodorant solide
fleuri chéri Unbottled, à 12,90 €, et enfin, le
déodorant Eau Thermale Jonzac, à 5,76 €. Vous
l’aurez compris, si vous voulez de la qualité, il faut mettre la
main au porte-monnaie. Une dizaine d’euros en moyenne.
Néanmoins, le Coslys et le Jonzac sont les plus abordables
de cette liste.