Le 13 septembre 2024, une femme – sans domicile fixe – se rend au commissariat central de Strasbourg pour déposer plainte pour agression sexuelle à l’encontre d’un autre sans-abri. Les jours précédents, elle a déjà confié à une assistante sociale, une infirmière et à son compagnon « le truc pas cool » qui lui était arrivé.
Venue spécialement du sud-ouest pour témoigner au procès de celui qu’elle accuse ce jeudi 6 novembre, elle relate s’être endormie assise, épuisée, sur le trottoir de la rue d’Austerlitz dans la soirée du 7 au 8 septembre 2024, lorsque deux comparses d’infortune l’ont réveillée et lui ont dit de les suivre pour…