L’intercommunalité va donc devoir régler 265 500 euros à l’État et 29 500 euros à l’association qui défend les gens du voyage. En début d’année, la Métropole avait été condamnée à cette astreinte financière croissante, de 500 euros à 1 500 euros par jour de non-exécution d’une décision de 2019 pour installer deux nouvelles aires, prévues au schéma départemental de 2012.

Après le paiement de cette somme, sous deux mois, l’astreinte journalière de 1 500 euros continuera de s’appliquer. Le tribunal n’a pas jugé opportun de majorer l’amende mais a tout de même estimé que les avancées de la Métropole, qui dit avoir identifié neuf terrains mais sans toutefois contacter les propriétaires, étaient trop faibles.