Comme Le Dauphiné Libéré l’a révélé le soir même sur son site, il était environ 17 heures lorsque les sapeurs-pompiers sont intervenus à cette adresse. Selon nos informations, c’est un proche de la victime, inquiet de ne pas parvenir à la joindre, qui les avait alertés. Ils sont donc entrés dans le logement en passant par le balcon dont la baie vitrée avait été laissée entrouverte.

Ils ont alors découvert la victime – une femme de 39 ans dont on ignore si elle vivait seule – gisant, sans vie, sur le sol de sa cuisine.

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L’autopsie devrait déterminer si la mort est naturelle, accidentelle ou d’origine criminelle

On ignore si des traces de violence ont été relevées lors du premier examen du corps, mais le désordre – pouvant résulter d’une scène de lutte – de l’appartement et le jeune âge de la victime ont rendu son décès suspect aux yeux du médecin – qui a donc opposé un obstacle médico-légal- et à ceux des policiers que les secouristes avaient immédiatement informés, comme le veut la procédure.

Ces derniers se sont donc rendus sur place, rejoints par leurs collègues spécialisés en police technique et scientifique, pour procéder aux constatations et réaliser une enquête de voisinage.

L’autopsie, qui doit être pratiquée prochainement, devrait déterminer la date précise de la mort et établir si cette dernière est naturelle, accidentelle ou d’origine criminelle.