Sa réponse n’aura pas attendu longtemps. Quelques heures après la sortie du nouvel album d’Orelsan, dans lequel le rappeur français a taclé l’attaquant du Real Madrid, le capitaine des Bleus a réagi sur les réseaux sociaux.
Fidèle à sa ville natale, Orelsan a glissé dans son nouveau titre La petite voix de son nouvel album La Fuite en avant une pique directement adressée au clan Mbappé. « Tu vas faire couler ta ville comme les Mbappé », lâche-t-il, en référence au rachat du Stade Malherbe de Caen par la société Coalition Capital, gérée par la mère du joueur.
Une opération qui avait fait couler beaucoup d’encre, alors que le club venait d’être relégué en National 1 et venait de licencier seize salariés, selon Foot Mercato.
Le ton d’Orelsan, moqueur, tranche avec son attachement à la Normandie. Dans la même chanson, il raille sa propre ville : « Fais pas semblant d’aimer ta ville, elle est claquée. Elle est morte, c’est pour ça qu’on vous appelle Caennais ».
La réplique acérée de Kylian Mbappé
La réponse du capitaine de l’équipe de France ne s’est pas faite attendre. Sur X, Kylian Mbappé a réagi ce vendredi 7 novembre : « T’es le bienvenu pour « sauver » la ville que tu aimes tant, Orelsan. PS : le mec a fait que nous supplier pour entrer avec 1% sans payer parce qu’il a pas un rond mais veut avoir la bonne image du petit gars de Normandie. »
T’es le bienvenu pour « sauver » la ville que tu aimes tant 😌 @Orel_san
Ps: Le mec a fait que nous supplier pour entrer avec 1% sans payer parce qu’il a pas un rond mais pour avoir la bonne image du petit gars de Normandie. https://t.co/inpIultqdn
— Kylian Mbappé (@KMbappe) November 7, 2025
Le SM Caen traverse une période délicate. Le club a été relégué en National et navigue en milieu de tableau. Un plan de sauvegarde de l’emploi a été mis en place, validé par la direction du travail, selon Ouest France. Il doit aboutir au départ de seize salariés.
L’entrée du clan Mbappé via Coalition Capital devait symboliser un nouveau départ pour le club normand. Mais les difficultés sportives et économiques semblent avoir ravivé des tensions locales.
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