Impossible d’y échapper. Sur grand écran, sur toutes les scènes de France, à la télé, et dans vos journaux préférés, Orelsan sera là. Le rappeur-chanteur normand s’en est assuré : il a sorti un film, Yoroï, paru fin octobre et au succès pour le moment mitigé, a annoncé quelques semaines plus tôt la tenue de dix Accor Arena d’affilée en décembre 2026 («seule Mylène Farmer a fait mieux !»), et sort désormais La Fuite en avant, son cinquième album qui, au milieu du menu king size concocté par ce mec normal devenu mastoc, fait office d’accompagnement, de produit d’appel, la musique en l’occurrence, auquel s’ajoutent autres mets et produits dérivés.

Et honnêtement, en cette clôture de rentrée musicale 2025 durant laquelle le rap français s’est fait tout petit, on prend. Parce qu’avec Orelsan, il y a toujours quelque chose après le virage. Un plot twist, un concept, une pirouette, un truc qui nous pousse à dire que malgré l’énième épisode du typ