Stéphane Ravier vient de faire plier le maire de Marseille Benoît Payan qui avait cru bon d’interdire la diffusion du film Sacré-Cœur au château de la Buzine, après une victoire devant le tribunal administratif, le 25 octobre. L’occasion, pour le sénateur non inscrit des Bouches-du-Rhône et conseiller municipal de Marseille, d’appeler à la résistance. Et de revenir sur l’actualité récente : cambriolage au Louvre, attentat à Oléron, agressions de personnes âgées. « C’est le grand effondrement, constate Stéphane Ravier, il n’y a plus aucun boulon qui tient. »

Partout, on retrouve peu ou prou l’effet de l’immigration. Stéphane Ravier en profite pour lancer une « alerte disparition » : il manquait 500.000 clandestins, dans le chiffrage originel du ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez… Mais, pour lui, l’espoir est permis. Stéphane Ravier voit dans le vote de l’Assemblée favorable à la dénonciation des accords de 1968 entre la France et l’Algérie un signe positif. « Il est temps de prendre des mesures si on ne veut pas être submergés », dit-il.

Enfin, il analyse les enjeux de la prochaine élection municipale à Marseille dans laquelle il voit une « grande opportunité pour le camp national ». Conversation inédite.

 


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