Finalement, le petit-fils de ce sculpteur peu connu du grand public mais « icône » dans le milieu des beaux-arts a décidé d’en faire don à la ville où son grand-père a vécu pendant près de cinquante ans, des années 1920 jusqu’à sa mort en 1970. « L’œuvre a été cassée et je l’ai restaurée à ma façon. Finalement, le Moma n’en a pas voulu », explique Dominique Touranchet-Noll, le descendant, en désignant sa propre reprise à l’arrière du totem haut de 2,80 m.