Ça tangue un peu quai d’Oran du côté de la tour Elithis. Après avoir avancé à un bon rythme jusqu’à cet été, le chantier de cet édifice tout en verticalité, semble actuellement au point mort. Deux de ses huit pans de façade sont encore à nue, dans l’attente des panneaux photovoltaïques qui doivent les recouvrir, et plus aucun ouvrier ne s’active à ses pieds ou dans ses étages.

Christophe Bearune, patron de Bearune Ingénierie, maître…