Vendredi, le chef de l’État bulgare Roumen Radev a appelé à la libération de l’ancien président français en raison de sa « contribution à la libération des infirmières » bulgares longtemps détenues en Libye.

Les cinq infirmières avaient été condamnées à mort à plusieurs reprises en Libye, accusées d’avoir inoculé le virus du sida à 450 enfants dans ce pays. Elles avaient passé plus de huit ans en prison, avant d’être libérées et de regagner la Bulgarie en juillet 2007 à bord de l’avion présidentiel français, accompagnées de Cécilia Sarkozy.

Roumen Radev a dit vouloir « rendre hommage » à un homme qui a « déployé des efforts considérables » et qui « aujourd’hui en prison, a besoin de notre soutien, de notre sympathie » et de « notre sincère gratitude ».