Près de deux décennies après leur séparation, Carla
Bruni et Raphaël Enthoven entretiennent toujours une
relation empreinte de respect et de bienveillance. Parents
d’Aurélien,
aujourd’hui adulte, ils ont su préserver une entente solide pour
son équilibre, mais aussi par estime mutuelle.
Alors que Raphaël Enthoven célèbre ses 50 ans
ce dimanche 9 novembre, l’ex-première dame continue de suivre avec
attention son parcours d’écrivain. En septembre dernier, elle n’a
d’ailleurs pas hésité à partager sur Instagram son admiration pour
L’Albatros, le dernier roman du philosophe publié aux
éditions de L’Observatoire. Un geste simple, mais révélateur d’un
profond respect entre les deux anciens amants.
Raphaël Enthoven met fin à une
rumeur persistante
Au début des années 2000, Carla
Bruni et Raphaël Enthoven ont vécu une histoire d’amour médiatisée,
marquée par la naissance de leur fils Aurélien, aujourd’hui âgé de
23 ans. Depuis leur rupture en 2007, chacun a pris
un autre chemin : l’ancienne mannequin partage la vie de
Nicolas Sarkozy, tandis que le philosophe est marié à Adèle Van
Reeth.
Invité ce jeudi 8 novembre sur la
RTBF, Raphaël Enthoven a toutefois tenu à revenir sur une rumeur
qui entoure depuis longtemps leur relation : « Elle
n’était plus la compagne de mon père quand on s’est aimés,
depuis un moment déjà », a-t-il affirmé, désireux de mettre les
choses au clair une bonne fois pour toutes.
Une
histoire d’amour avec Carla Bruni souvent mal comprise
À la fin des années 1990, Carla Bruni aurait
brièvement fréquenté Jean-Paul Enthoven, le père de l’essayiste.
Dans son ouvrage Le Temps
gagné,
Raphaël Enthoven évoque d’ailleurs sa première rencontre avec
elle, présentée par son père : « Je la trouvais bien jolie.
Comme un rêve qui s’incarne sans se perdre. Je
fondais« . C’est au cours d’un réveillon à Tanger,
chez Bernard-Henri Lévy, que leur rapprochement aurait eu lieu,
avant que leur relation ne devienne officielle à leur retour en
France. Longtemps critiqué, le couple a été accusé d’avoir
entretenu une relation ambiguë avec le père de Raphaël.
Une version que ce dernier réfute fermement :
« Je n’ai rien partagé du tout. J’ai rencontré
une femme, avec qui j’ai eu un enfant, avec qui j’ai passé
huit années de ma vie, qui, par ailleurs, a été la petite
amie de mon père pendant quarante-huit heures. Cela n’a rien à
voir, les choses ne sont pas comparables ». Et de conclure avec
force : « La décision qui s’imposait à moi était d’aimer la
personne que j’aimais, et personne n’est en mesure de le
juger ».