Si, aujourd’hui, Doria Tillier enchaîne les rôles et fait partie des comédiennes françaises les plus connues des spectateurs, celle-ci a tout de même démarré, comme tout le monde, en « bas de l’échelle ».
C’est réellement en 2012 que l’artiste âgée de 39 ans se fait connaître du grand public, lorsqu’elle débarque dans Le Grand Journal avec Michel Denisot pour présenter une chronique météo totalement décalée. Une chronique dans laquelle elle mêle humour et actualités, et dans laquelle elle met à contribution Augustin Trapenard.
Le présentateur de La Grande Librairie faisait en effet partie de l’équipe du Grand Journal à l’époque, et avait toujours sa place dans la chronique de Doria Tillier. Mais acceptait-il ce rôle sans broncher ? S’entendait-il bien avec sa collègue ou les relations étaient-elles tendues entre les deux ? Les principaux intéressés viennent de donner la réponse.
Tous deux invités de Kyan Khojandi dans Le bon moment, l’ancienne Miss Météo et le journaliste ont justement été interrogés sur le sujet. « On s’est bien entendu immédiatement », assurent-ils afin de mettre fin aux éventuelles rumeurs.
Doria Tillier en profite pour révéler : « Cette année, je raconte ça et Augustin me dit : ‘Non mais Doria, les six premiers mois où on s’est connus, pour moi tu étais une bouffonne’ ». Augustin Trapenard la coupe alors pour rectifier et dévoiler sa véritable déclaration : « Ce n’est pas ça, mais je te trouvais marrante, mais on n’était pas devenus amis tout de suite », avoue-t-il.
Pendant deux ans, l’ex-compagne de Nicolas Bedos a pu compter sur le soutien d’Augustin Trapenard, même si celui-ci ne l’a pas considérée comme une « amie tout de suite ». D’autant plus que Doria Tillier l’avoue, ses débuts dans Le Grand Journal n’ont pas été simples.
Une première année très compliquée pour la « Miss Météo »
« Sur mes premières chroniques, j’étais très stressée. Je pensais que ça allait durer pendant un mois, mais non, ça a duré au moins un an », avoue-t-elle à Kyan Khojandi avant de reconnaître : « J’ai mis un an à passer un palier. À chaque fois, j’étais en panique : ‘Je vais me taper la honte, ce n’est pas possible, je vais ennuyer les gens…’. C’était partagé entre ça et ‘ce que je vais faire c’est trop cool’ ».
Finalement, Doria Tillier a trouvé une astuce pour faire évacuer le stress : « Juste avant de descendre sur le plateau, j’essayais de me rappeler dans les dernières secondes pourquoi je le faisais : pour le plaisir. Ça me portait beaucoup. C’était mon boulot préféré », conclut-elle, visiblement nostalgique de cette époque.
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