« C’est abject. Nous condamnons tous fermement les faits. Cette femme était sous notre responsabilité. Il s’agissait de plus d’une personne vulnérable », réagit le policier. En effet, elle présenterait une addiction aux drogues dures. Ce dérapage a rejailli sur tout le service : « Déjà que nous n’avions pas bonne réputation. On nous traitait de fachos, de violents et maintenant de violeurs », soupire le policier affligé.