Dix heures, ce mercredi 12 novembre. Charlie Winston descend du bus tour stationné devant le Firmament. L’artiste et son équipe sont arrivés dans la nuit, que certains d’entre eux ont terminée à l’hôtel.
Après avoir retrouvé une partie des siens en coulisses, le Britannique traverse la salle et se dirige vers le bar pour prendre un petit-déjeuner. L’interprète de Like a Hobo salue avec un large sourire et, dans un français impeccable – il est marié à une Française et vit à Nice – et échange quelques mots avec Tibert, le directeur artistique des Oreilles en pointe, qui se tient depuis le 6 et jusqu’au 16 novembre.
À quelques mètres, des bénévoles s’activent. Ils sont une vingtaine à être présents aujourd’hui à différents postes sur la trentaine d’actifs…